On fait des fiches. Des tas de fiches. Une par texte lu, une par auteur. On pille Wikipédia, sans vergogne. On se permet de remettre en cause la théorie de l'inconscient freudien, en s'appuyant sur Alain (à ma droite) et Sartre (à ma gauche). On a probablement raison, contre sa mère, dans l'interprétation de phrases spinoziennes telles que "d'où vient que, des choses accomplies, ils veulent toujours savoir les causes finales, et rien qu'elles, et quand on les leur a dites, ils sont contents : ils n'ont plus alors raison de douter". On n'arrive pas bien à prononcer "Leibniz", mais on le préfère secrètement, car plus simple à comprendre, que Descartes.
Bref, on s'amuse comme des petits fous. Et en prime, on se passe en boucle les Monthy Python (merci Dexter) :