Ah ! C'qu'il est épatant, ce p'tit bonhomme-là, c'est phénomènal le talent qu'il a...

Décidément, j'aime vraiment beaucoup François Morel.

Comments

[paul edel]

pardon clopine de ne répondre qu'aujourd'hui à votre post sur stendhdal  et moi  où vous dites avec une grande conviction votre méfiance devant un stendhal. pourquoi pas?


  il est évident que stendhal a fréquenté des lieux de mauvaise vie,tout autaant que marcel proust..les écrivains ne doivent pas être confnds avec la vie des saints.  et qs'il a
mulitplié aussi des plainsatneries de mauvais gout, en soldat de l'empire et en officier  dans sa caserne. il a aussi multiplié les chaitres adlirables sur les felmems car "lamour" fut la
passion de sa vie,je dis bien l'amour et pas  la plainsaterie de caserne. pensez aussi à Musset qui passait sa vie dans les birdels et à qui on doit les pus jolis personnages félinins dans
ses comédies et proverbes..


Henry beyle dit stendhal  était capable de parler vulgairement d'une manière leste comme on parlait de son tempzs..  mais il n'a jamais pensé bas à propos des femmes.  il ne nus a
pas donné un mauel d'edeu ation sexuyelle mais des orans qui exalte la baueté,la tendresse, la passion des femes, avec uhe ausance,  une liberté, une ra_llerie, et aussi une émption de
porcelaine.vitesse et profodeur, étendue, lusuicalité,  fraicheur,esprit, , verité du trait et  cet allaegro , cette danse de la vie que je cherche vainement dans les romans
contemporains..


.. , il aopu , dans ses jiournaux intimes se laisser aller  à etre  t salace mais reconnaissez qu'il y a peu de romanciers francais qui ont réussi d'aussi beaux et lumineux
 portraits de femmes: de madame de chasteller à la sanseverina, de mathilde de la môle à  madame de renal.
de plus, tous les psychologues, et  nietzsche en tete, ont été stupéfaits qu'il dévoile aussui simplement  une loi amoureuse fondamentale  qui était sous notre nez..  je parle
des étapes de la  de la" cristallisation" amureuse  je suis t étonné,  qu'aun nom du féminisme militant, on puisse finalement s'adonner à   une condamanation qui est une non
lecture,une désinvolture pour un écrivain tel que lui.


il y a tant de gens vertueux  qui n'ont rien apporté en art ou en littérature. Il y a aussi, vous devriez les lire, les lettres de femmes aimées par stendhal et le décrivent pas un monstre.
Il a  donné à tout lecteur  et toute lectrice des raisons d'aimer davnatage les femmes qu'en lisant par exemple baklzac, beaucop pus tranchant souvent et n'ayant pas cettef acuité de
suivre et de décrire  les mouvemetns du coeur féminin.


 je constante que souvent  le miitantisme est une  une manière d'aplatir et de caricaturer la merveilleuse comlxité humaien., souvent, de ne voir que d'un oeil pour évietr les
nuances. le militantisme est un confort de pensée:il simplifie et caracature et    évite  la comlexité des problèmes  de manière à bien s'isoler s dans ses certitudes ' ou sa
doctrine. heureusement, stendhal est un écrivain,pas un militant  donc  un homme attaché à l'immense horlogerie humainesi complexe. notamlebnt les secrets du coeur d'une femme. coment
ne pas voir ça? . 

[clopine]

Vous êtes tout pardonné, Paul... Je ne peux plus lire Stendhal sans penser à vous : autre forme de cristallisation, non ? Cela me fait d'ailleurs penser à la dernière dissertation de Clopinou,
 (je l'ai aidé), où nous avons parlé de Fabrice des Dongo, de Julien Sorel et de Napoléon. J'ai suggéré à Clopinou d'indiquer que le personnage historique de Napoléon (le sujet de la dissert
était l'utilisation de l'histoire en littérature) était constamment utilisé par Stendhal pour mettre en évidence les appétits déçus des jeunes gens en question, doubles de lui-même ; Clopinou a
trouvé la formule : les Julien Sorel étaient des "dupes de l'Histoire". On verra si nous avons eu raison, avec la note ! (Clopinou a également eu cette formule, très juste je trouve : l'Histoire
est "malléable" en littérature). 


 


Quant à la sexualité... Je crois sincèrement que le dix-neuvième siècle a été un des plus hypocrites et des plus durs pour les femmes. Les lupanars romains étaient très certainement assez abjects
aussi, dans leur genre, mais au moins ils avaient pignon sur rue. Quand je pense au dix-neuvième siècle sous cet angle (et les amours de George Sand apparaissent comme remarquablement lumineuses
dans cette obscurité, ne trouvez-vous pas ?) c'est la figure de Jack l'Eventreur, dans le smog londonien, qui m'en apparaît le symbole le plus réaliste (c'est dire !). 


 


Bien à vous, Paul, et merci pour les bonnes nouvelles reçues. Je vous souhaite des vacances avec les couleurs des yeux des marins bretons : ce bleu-vert étincelant, humide et doux.